Enfin de retour après un bon mois de disette photos en grande partie faute au temps instable ces derniers mois.
Ce n’était pourtant pas faute d’avoir essayé:
- une tentative au sommet de Pravouta en pleine tempête après un première épisode neigeux fin octobre (les doigts sans souviennent encore )
- une montée dans la nuit aux alpages des Emeindras mi-novembre pour se retrouver juste sous la mer de nuage à 200m près :’(
- et un nouvel essai une semaine plus tard du côté des prairies du Baure après une nouvelle chute de neige fraîche sans plus de succès.

Une chose est sûr l’hiver s’est bel et bien installé avec quelques semaines d’avance !

De ces aventures, trois photos on quand même pu être sauvés au prix d’importants retraitements…

C’est raté pour la mer de nuage

Nouvelle espèce de feuillus albinos

Habert de l’Emeindras

Après une nouvelle chute de neige, cette fois jusque dans les rues Grenobloise, suivie d’une brève éclaircie le lendemain, une expédition était préparée en urgence pour en profiter au plus vite.
Direction au petit matin, en compagnie de l’ami Eric au sommet de Pravouta face à la dent de Crolles et à Chamechaude.
Le temps n’annonçait bien dégagé (presque dommage une jolie mer de nuage ça aurait fait plaisir ^^), pour l’occasion Eric en a carrément oublié son appareil photo au bureau

Chamechaude à l’aube

Panoramique de la chaîne de Belledonne et la vallée encore endormie

Le Bec Charvet

Le Roc d’Arguille depuis Pravouta

Le grand Som

Bec Charvet sur fond de Vercors

Bec Charvet toujours

Et encore lui comme si on y était

gros plan sur le grand Som

Sapin solitaire

Eric désespéré, rentrant chercher son appareil photo

Premières lueurs sur le grand Som

Chamechaude se réchauffe à son tour

Froid et Chaud

Chamechaude illuminé

Panoramique sur la Chartreuse

Cette fois c’est décidé, Eric est parti

Chamechaude et son double

Chemin du retour vers la journée de travail qui nous attend

Pour réconforter Eric qui a retrouvé son appareil photo, retour en Chartreuse du côté des prairies du Baure pour un pic-nique improvisé pendant la pause déjeuné.

Et voilà une journée de travail comme on les aime, il n’y aurait manqué plus qu’un petit coucher de soleil pour que ça soit parfait